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La Confession : le sacrement de réconciliation ( avec Dieu )

 

Attention : la célébration pénitentielle en groupe, selon moi, ne permet pas de recevoir le pardon et l’absolution des péchés. Elle peut être une étape pour mieux se confesser individuellement à un  prêtre, mais elle ne doit pas la remplacer, sinon, ce serait un peu trop facile, non ? Vous ne pensez pas ? on va à une célébration pénitentielle, et hop, à la fin, le prêtre absous tout le monde sans la moindre analyse , sans le moindre dialogue entre le prêtre et le pénitent pour savoir si il regrette sincèrement d’avoir offensé Dieu, et ses résolutions pour éviter à nouveau de pécher ! non, je ne pense pas … il y a peut être faute grave pour les prêtres s’ils donnent l’absolution collective automatiquement.

Une absolution donnée trop facilement est un grand danger pour le pénitent, qui retombe très vite dans ses mauvaises passions, car il sait qu’il sera à nouveau facilement « absout » à la prochaine célébration pénitentielle.

J’y vois là une astuce de Satan pour nous faire croire qu’on a été absous et qu’on ne l’es pas réellement, ( on reste en état de péché et pas en état de grâce ) ou si on es réellement absous, on retombe vite dans le péché.

Quand on confesse ses péchés en face d’un prêtre, on a honte de les dire, on s’humilie, et le regret et les larmes viennent , alors que dans une célébration pénitentielle, pas besoin de raconter les pécher, si on y vient , c’est bien pour avoir l’absolution sans avoir à dire nos péchés et s’humilier devant le ministre de Dieu, car on est lâche, et cela ne fait pas venir le regret et le pardon de Dieu.

Donc ne remplacez surtout pas la confession individuelle par une célébration pénitentielle

 

 

Importance de la confession :

 

 – en  confessant nos péchés à un prêtre, on se réconcilie avec Dieu, on s’humilie, on se reconnaît pécheur, les grâces descendent beaucoup plus facilement

 – on purifie son âme des péchés, on devient plus agréable à Dieu, on montre qu’on veut se purifier, se sanctifier

 – on se sent soulagé, comme libéré d’un poids qui nous pèse sur la conscience, on se sent léger , renouvelé

 – cela évite de commettre des sacrilèges, c’est-à-dire de communier en étant en état de péché mortel , c’est-à-dire avec un péché grave sans l’avoir confessé

 – le prêtre écoute et nous donne des conseils pour résoudre les problèmes qu’on rencontre dans la vie.

 – pour bien se préparer à une confession, il est important d’avoir bien revu sa vie en détail, cela prend plusieurs semaines car tous les jours on retrouve des souvenirs avec l’aide du Saint Esprit pour nous faire retrouver tout ce qu’on a fait, avec qui, comment, pourquoi, au travail, en famille, dans les loisirs …et on retrouve peu à peu beaucoup de péchés qu’on ne voudrais pas avouer à un pretre, mais si on ne les dit pas, le venin du péché reste actif en nous, et en plus on ne peux pas etre pardonné pour les péchés qui ne sont pas confessé. Retrouvez au moins les péchés mortels, les plus grave, les plus honteux en général, et osez les dire en s’humiliant, avec regret et promesse de faire ce q’il faut pour éviter de les commettre à nouveau, c’est comme cela qu’on obtient le pardon et la rémission des péchés.

 

Conseils pour une bonne confession :

 

extrait des sermons de Saint Jean Marie Vianney , sur la confession :

 

Vous savez tous, M.F., que le sacrement de pénitence est un sacrement qui a été institué par Notre-Seigneur Jésus-Christ pour remettre les péchés commis après le baptême. C’est principalement dans ce sacrement que le Sauveur du monde nous montre la grandeur de sa miséricorde, puisqu’il n’y a point de péchés que ce sacrement n’efface, quelque grand que soit leur nombre et quelque affreuse que soit leur noirceur ; de sorte que tout pécheur est sûr de son pardon et de regagner l’amitié de son Dieu, si, de son côté, il apporte les dispositions que demande ce sacrement. La première disposition, c’est de bien connaître ses péchés ; leur nombre et leurs circonstances qui peuvent ou les augmenter, ou en changer l’espèce : et, cette connaissance ne nous sera donnée qu’après l’avoir demandée au Saint-Esprit. Toute personne qui, dans son examen, ne demande pas les lumières du Saint-Esprit ne peut faire qu’une confession sacrilège . Si cela vous est arrivé, revenez sur vos pas, parce que vous êtes bien sûrs que vos confessions n’ont été que de mauvaises confessions.

 

La deuxième condition c’est de bien déclarer ses péchés, comme vous dit votre catéchisme, sans artifice ni déguisement, c’est-à-dire tels que vous les connaissez vous-mêmes. Cette accusation ne sera faite comme il faut, qu’autant que vous en aurez demandé la force au bon Dieu : sans cela il vous est impossible  de les déclarer comme vous le devez pour en recevoir le pardon. Vous devez donc examiner devant le bon Dieu si, toutes les fois que vous avez voulu vous confesser, vous lui avez demandé cette force ; si vous y avez manqué, revenez sur vos confessions, parce que vous êtes bien surs qu’elles ne valent rien.

 

La troisième condition que demande ce sacrement pour que vous obteniez le pardon de vos péchés, c’est la contrition, c’est-à-dire le regret de les avoir commis, avec la résolution sincère de ne plus les commettre, et un désir véritable de fuir tout ce qui peut vous y faire retomber. Cette contrition vient du ciel et elle ne nous est donnée que par la prière et les larmes ; prions donc et pleurons en pensant que ce défaut de contrition est celui qui damne le plus de monde. L’on accuse bien ses péchés ; mais souvent le cœur n’y est pour rien. L’on conte ses péchés comme l’on conterait une histoire indifférente : nous n’avons pas cette contrition, puisque nous ne changeons pas de vie. Nous avons tous les ans, tous les six mois, tous les mois ou trois semaines, ou tous les huit jours, si vous voulez, même péché, même défaut ; nous marchons toujours dans le même chemin : point de changement dans notre manière de vivre. D’où peuvent venir tous ces malheurs qui précipitent tant d’âmes dans les enfers, sinon du défaut de contrition ? Et comment pouvoir espérer de l’avoir, puisque souvent nous ne la demandons pas seulement à Dieu, ou que nous la demandons sans presque désirer de l’avoir ? Si vous ne voyez point de changement dans votre conduite, c’est-à-dire, si vous n’êtes pas meilleurs après tant de confessions et de communions, revenez sur vos pas afin que vous reconnaissiez votre malheur avant qu’il n’y ait plus de remède. Il faut, M.F., pour nous donner l’espérance que nos confessions sont faites avec de bonnes dispositions, il faut, en nous confessant, nous convertir : sans cela, ce que nous faisons de fait que nous préparer toutes sortes de malheurs pour l’autre vie :

 

Mais après avoir bien connu nos péchés par la grâce du Saint-Esprit ; après les avoir bien déclarés comme il faut, après avoir bien eu la douleur de nos péchés, il nous reste encore une quatrième condition, pour que les trois autres portent les fruits que nous devons en attendre, c’est la satisfaction que nous devons à Dieu et au prochain. Je dis à Dieu, pour réparer les injures que le péché lui a faites, et au prochain, pour réparer le tort que nous lui avons fait dans son âme ou dans son corps.

 

 

Quels péchés confesser ?

 

c’est simple, demandez vous si ce que vous avez fait , est ce que Jésus ou Marie ou n’importe quel saint l’aurais fait

est-ce que c’est saint, pour la gloire de Dieu, le bien d’autrui , dans une intention de faire quelque chose de bien , avec amour

ou est ce que c’était juste pour avoir du plaisir, pour gagner quelque chose de matériel , de s’enorgueillir de quelque chose ?

si c’est plutôt cela , c’est très probable que ce que vous avez fait , c’est Satan qui vous l’a suggérer sans que vous en ayez conscience, et donc c’est mal et c’est un péché

 

Avortement, crime, euthanasie

Orgueil , fierté,  amour propre,

recheche des honneurs, louanges , rechercher etre le meilleur , se perfectionner dans une discipline pour attirer l’attention, collectionner les trophées, épater les copains

mépris, indifférence pour Dieu ou d’autrui,

Avidité, égoisme, avarice, cupidité,

Viol, pédophilie, adultère, inceste, prostitution, Impureté, fornication, impudicité, masturbation, contraception ( rechercher seulement le plaisir des sens )

dépendance plus ou moins prononcées au sexe, aux revues ou films érotiques, pornographiques

profanation de lieux sacrés, sacrilèges ( prise de l’hostie en état de péché grave , mortel )

torture, maltraitance, violence physique, verbale, colère

intérêt pour l’occulte ( qui proviennent de Satan, du mal  ) :  que ce soit pour guérir, ou se sentir mieux ou pour controler les autres ou autres :

      contrôle du subconsient, hypnose, magnétisme, sorcellerie, magie, la fete d’Halloween ( fete de Satan et de ses démons ), voyance, voyage astral, etc

dépendance à l’alcool, à la cigarette, à la drogue, à la nourriture, à un jeu d’argent, à un jeu video, à internet, à la télé, au téléphone portable

vol, fraude fiscale, trafic de drogue ou d’autres choses

mise en danger de notre propre vie ou celle d’autrui , par exemple en conduisant en état d’ivresse ou ayant pris de la drogue , ou en roulant trop vite

haine, racisme, xénophobie, homophobie, intolérance, inciter à ces mauvais sentiments

blasphèmes

tuer des animaux par plaisir

pollution de la nature, l’eau, de l’air, de la terre

jalousie, envie

paresse

désobéissance

critiquer, juger en mal

mensonge

pour les parents, le non enseignement de l’evangile à ses enfants ,des commandements de Dieu à ses enfants qui sont alors perdus , sans repères, sans but dans la vie,

ne savent pas le sens de la vie, qui est de se sanctifier et alors tombent dans tous les péchés

faire baptiser son enfant , c’est bien mais si on ne lui apprend pas comment se comporter en bon chrétien, si on ne lui parle jamais de Dieu, si on ne lui apprend pas à aimer Dieu, à respecter les commandements de Dieu, à ien prier, le sens de la vie, c’est le laisser en proie à Satan et tous ses démons

et il y en aurait bien d’autres, je crois en avoir cités un grand nombre des plus graves

 

 

C’est tres important de bien se confesser, alors allez-y !

 

Voici un petit texte amusant pour nous faire comprendre l’action du démon sur la confession

Le tentateur écrit à son neveu, diable apprenti, afin de lui dispenser quelques conseils pour faire pécher l’homme, son « client »

 

Mon neveu,

 

Je suis furieux ! Ce fichu canard de « Famille Chrét… » (beurk, ce mot me fait horreur) vient de distribuer dans toutes les paroisses un supplément gratuit sur le pardon. Damned ! Nous avions réussi à vider les confessionnaux et à éloigner les cathos du sacrement de réconciliation grâce à quelques trouvailles comme « le péché, c’est dépassé », « une invention de curé », « arrêtons de culpabiliser », etc. Or voilà que ces minables journaleux nous glissent des peaux de bananes 

 

Car tu le sais : ma plus belle ruse est de faire croire que je n’existe pas ; ou que j’existe là où je ne suis pas. Ce qui fait que les gens s’accusent de ce dont ils ne sont pas coupables, et s’excusent de ce dont ils sont pécheurs. Bref, c’est la confusion générale, et notre époque s’enfonce dans une culpabilité gluante et un désespoir noir – j’adôôôre le désespoir, c’est un joker d’enfer !

 

Permets-moi donc, afin de contrer ces insolents, de te prodiguer quelques conseils d’urgence : souffle à ton client que tout ne va pas trop mal dans

sa vie, il continuera à se satisfaire de sa médiocrité.

 

Cultive en lui les tiédeurs, le relâchement et surtout l’indifférence.

 

Si jamais le désir d’aller se confesser le démange, susurre-lui : « Tu iras demain ! » Ta première victoire, c’est de retarder ce moment de vérité. Inspire-lui des « ça sert à rien, je répète les mêmes choses », ou « j’ai trop honte », ou « ça fait si longtemps », ou « je n’arrive pas à regretter », ou bien « je ne sais plus comment faire »…

 

Mets-lui le nez dans son péché. Grossis, exagère, déforme. Dramatise aussi. Dégoûte ton client de lui-même. Qu’il s’assimile à sa faute. Il en oubliera qu’un homme ne se réduit jamais à son acte, aussi abominable soit-il. Et il se croira condamné au mal pour toujours, hip, hip, pourrira !

 

Si jamais il se décide à se rendre à l’église, utilise les embouteillages, les intempéries, les grèves de métro. Ridiculise-le aussi : qu’il rencontre, en chemin, un ami chrétien qui s’exclame : « Tu te crois au Moyen-Âge ? Moi je demande pardon directement à Dieu ! » Car il faut beaucoup d’humilité pour se mettre à nu devant un autre homme ; or je hais l’humilité, c’est l’humus, le terreau de la sainteté.

 

Joue enfin sur la peur de D.– enfin, celui dont je ne peux prononcer le nom sans me brûler la langue et que je préfère surnommer CQFD (Celui Qu’il Faut Détruire) – : cette peur est l’un des plus beaux héritages de ce péché premier et magnifique qui fut mon chef d’œuvre.

 

Si ton client finit par entrer dans cette fichue boîte à contrition, fais en sorte qu’il tombe sur un prêtre grognon, colérique, ou qui lui fait la morale au lieu de l’accueillir comme un père très aimant. Que son aveu reste général, et que le prêtre évite les conseils concrets – comme ça, pas de résolutions précises, c’est ce qui permet de progresser.

 

Le but de la lutte, c’est qu’il se dise : « Dieu ne pourra jamais me pardonner ». Oui, s’il désespère de la miséricorde, son compte d’enfer sera dans le rouge pour toujours.

 

Mais ne sous-estime pas CQFD : il est vraiment fort (en fait, il a déjà gagné, mais je ne vais pas te le dire, tu désespèrerais). Il profite même du péché pour sauver les pécheurs. De la misère à la miséricorde, il n’y a qu’une corde. En effet, le péché coupe la corde qui unit l’homme à D., mais la grâce du pardon renoue les deux bouts ; et grâce à ce nœud, la corde est moins longue. D. et l’homme plus proches ? C’est mon supplice éternel…

 

Mon neveu, au boulot, au fourneau !

Je te hais de tout mon cœur et je t’encrasse très fort.

 

Cette chronique est inspirée du livre La tactique du diable de l’écrivain C.S. LEWIS. Elle a été rédigée par LUC ADRIAN, avec le père PASCAL IDE, auteur de Les sept péchés capitaux

 

Ne laissez pas les astuces des démons vous empêcher de vous confesser !  Allez-y  …

 

 

petit extrait des sermons de Saint Jean Marie Vianney , à propos du jugement dernier :

Venez, pères et mères, rendez-moi compte de ces âmes que je vous ai confiées ; rendez-moi compte de tout ce qu’ont fait vos enfants, vos domestiques ;

 voilà toutes les fois que vous leur avez donné la permission pour aller dans des lieux et des compagnies où ils ont péché. Voilà toutes les mauvaises pensées

 et les mauvais désirs que votre fille a donnés ; voilà tous les embrassements et autres actions infâmes ; voilà toutes ces paroles impures que votre fils

 a prononcées. Mais, Seigneur, diront les pères et mères, je ne le lui ai pas commandé. N’importe, leur dira leur juge, les péchés de tes enfants sont les tiens .

 Où sont les vertus que tu leur as fait pratiquer ? Où sont les bons exemples que tu leur as donnés ? Où les bonnes œuvres que tu leur as fait faire ?

 Hélas !  que vont devenir ces pères et mères qui voient que leurs enfants, les uns s’en vont danser, les autres dans les jeux et les cabarets, et qui vivent tranquilles ?

 O mon Dieu, quel aveuglement ! Oh ! que de crimes dont ils vont se voir accablés dans ces terribles moments ! Oh ! que de péchés cachés qui vont être manifestés

 à la face de tout l’univers ! Oh ! abîmes profonds des enfers, ouvrez-vous pour engloutir ces foules de réprou-vés qui n’ont vécu que pour outrager Dieu et se damner.

 Alors, me direz-vous, toutes les bonnes œuvres que nous avons faites ne nous serviront donc de rien ? Ces jeûnes, ces pénitences, ces aumônes, ces communions ;

 ces confessions seront donc sans récompense ? Non, vous dira Jésus-Christ, toutes vos prières n’étaient que routine, vos jeûnes qu’hypocrisie,

 vos aumônes que vaine gloire ; votre travail n’avait point d’autre but que l’avarice et la cupidité ; vos souffrances n’étaient accompagnées que de plaintes

 et de murmures ; dans ce que vous faisiez, je n’étais pour rien. D’ailleurs je vous ai récompensés par des biens temporels, j’ai béni votre travail ;

 j’ai donné la fertilité à vos champs, enrichi vos enfants ; le peu de bien que vous avez fait, je vous en ai donné toute la récompense que vous pouviez en attendre.

Mais, vous dira-t-il, vos péchés vivent encore, ils vivront éternellement devant moi ; allez, maudits, au feu éternel préparé pour tous ceux qui m’ont méprisé pendant leur vie.

autre extrait important à lire :

Voici sans doute, M.F., ce qu’il y aura de plus effrayant dans ce terrible moment, ce sera quand nous verrons que Dieu n’a rien épargné pour nous sauver,

 qu’il nous a fait part des mérites infinis de sa mort sur la croix, qu’il nous a fait naître dans le sein de son Église, qu’il nous a donné des pasteurs

 pour nous montrer et nous enseigner tout ce que nous devions faire pour être heureux. Il nous a donné les sacrements pour nous faire recouvrer

son amitié toutes les fois que nous l’avions perdue ; il n’a point mis de bornes au nombre des péchés, qu’il voulait nous pardonner ; si notre retour

 était sincère, nous étions sûrs de notre pardon. Il nous a attendus nombre d’années, quoique nous ne vivions que pour l’outrager ; il ne voulait pas

 nous perdre, mais plutôt il voulait absolument nous sauver ; et nous n’avons pas voulu ! C’est nous-mêmes qui le forçons par nos péchés de porter

 une sentence de réprobation éternelle : Allez, maudits enfants, allez trouver celui que vous avez imité : pour moi, je ne vous reconnais pas, sinon

 pour vous écraser de toutes les fureurs de ma colère éternelle.

Venez, nous dit le Seigneur par un de ses prophètes, venez, hommes, femmes, riches et pauvres, pécheurs, qui que vous soyez, de quelque état et condition

 que vous soyez, dites tous ensemble, dites vos raisons et moi je dirai les miennes. Entrons en jugement, pesons tout au poids du sanctuaire.

 Ah ! terrible moment pour un pécheur qui, de quelque côté qu’il considère sa vie, ne voit que péché et point de bien ! Mon Dieu ! que va-t-il, devenir !

 Dans ce monde, le pécheur a toujours quelque excuse à alléguer à tous les péchés qu’il a commis ; il porte même son orgueil jusqu’au tribunal de la pénitence,

 où il ne devrait paraître que pour s’accuser lui-même et se condamner. Les uns prétextent l’ignorance ; les autres, les tentations trop violentes ; enfin d’autres,

 les occasions et les mauvais exemples : voilà tous les jours, les raisons que donnent les pécheurs pour cacher la noirceur de leurs crimes.

 Venez, pécheurs orgueilleux, voyons si vos excuses seront bien reçues au jour du jugement, et expliquez-vous avec celui qui, le flambeau à la main,

 a tout vu, tout compté, tout pesé.

Vous ne saviez pas, dites-vous, que cela était un péché ! Ah ! malheureux, vous dira Jésus-Christ, si vous étiez né parmi les nations idolâtres

 qui n’ont jamais entendu parler du vrai Dieu, vous pourriez encore un peu vous excuser sur votre ignorance ; mais vous, chrétien, qui avez eu le bonheur

 de naître dans le sein de mon Église, d’être élevé au centre de la lumière, vous à qui l’on a si souvent parlé de votre bonheur éternel ! Dès votre enfance,

 on vous apprenait tout ce qu’il fallait faire pour vous le procurer ; vous que jamais l’on ne cessa d’instruire, d’exhorter et de reprendre, vous osez

 vous excuser sur votre ignorance ! Ah ! malheureux, si vous viviez dans l’ignorance, c’était bien parce que vous n’aviez pas voulu vous instruire ;

 c’était bien parce que vous n’aviez pas voulu profiter des instructions ou que vous les aviez fuies. Allez, malheu-reux ! allez, vos excuses vous

 rendent encore plus digne de malédictions ! Allez, maudit enfant, dans les enfers, y brûler avec votre ignorance.

Mais, dira un autre, mes passions étaient bien vives, et ma faiblesse était bien grande. – Mais, leur dira le Seigneur, puisque Dieu était si bon

 que de vous faire connaître votre faiblesse, et que vos pasteurs vous disaient qu’il fallait continuellement veiller sur vous-même, vous mortifier,

 si vous vouliez dompter vos passions, pourquoi faisiez-vous donc tout le contraire ? Pourquoi preniez-vous tant de soins de contenter votre corps

 et de chercher vos plaisirs ? Dieu vous faisait connaître votre faiblesse, et vous tombiez à chaque instant : pourquoi n’aviez-vous donc pas recours

 à Dieu pour lui demander sa grâce ? Pourquoi n’écoutiez-vous pas vos pasteurs, qui ne cessaient de vous exhorter à demander les grâces et les forces

 dont vous aviez besoin pour vaincre le démon ? Pourquoi avez-vous eu tant d’indifférence et de mépris pour les sacrements, où vous aviez tant de grâce,

 tant de force, pour faire le bien et éviter le mal ? Pourquoi avez-vous donc si souvent méprisé la parole de Dieu, qui vous aurait guidé dans le chemin

 que vous deviez prendre pour aller à lui ? Ah ! pécheurs ingrats et aveugles, tous ces biens étaient à votre disposition, vous pouviez vous en servir

 comme tant d’autres. Qu’avez-vous fait pour vous empêcher de tomber dans le péché ? Si vous avez prié et n’avez pas obtenu, c’est que vous n’avez prié

 que par routine ou habitude. Allez, malheureux ! plus vous aviez connu votre faiblesse, plus vous deviez avoir recours à Dieu qui vous aurait soutenu

 et aidé à opérer votre salut. Allez, maudit, vous n’en êtes que plus criminel.

 Mais, il y a tant d’occasion de pécher, dira encore un autre. – Mon ami, je connais trois sortes d’occasions qui peuvent nous porter au péché. Tous les états

 ont leurs dangers et offrent de ces occasions. Je dis qu’il y en a trois sortes : celles où nous sommes nécessairement exposés par les devoirs de notre état,

 celles que nous rencontrons sans les chercher, et celles où nous nous engageons sans nécessité. Si celles où nous nous engageons sans nécessité

 ne nous serviront point d’excuses, ne cherchons pas à excuser un péché par un autre péché. Vous avez entendu chanter une mauvaise chanson, dites-vous ;

 vous avez entendu une médisance ou une calomnie : et pourquoi êtes-vous allé dans cette maison ou cette compagnie ? Pourquoi fréquentez-vous ces personnes

 sans religion ? Ne savez-vous pas que celui qui s’expose au danger est coupable et y périra ? Celui qui tombe sans s’exposer se relève aussitôt, et sa chute

 le rend encore plus vigilant et plus sage. Mais ne voyez-vous pas que Dieu qui nous a promis son secours dans nos tentations, ne nous l’a pas promis

lorsque nous avons la témérité de nous exposer de nous-mêmes ? Allez, malheureux, vous avez cherché vous-même à vous perdre ; vous méritez l’enfer

 qui est réservé aux pécheurs comme vous.

Mais, me direz-vous, l’on a continuellement de mauvais exemples devant les yeux. – Vous avez de mauvais exemples, quelle frivole excuse ! Si vous en avez de mauvais,

 n’en avez-vous pas aussi de bons ? Pourquoi n’avez-vous pas plutôt suivi les bons que les mauvais ? Lorsque vous voyiez aller cette jeune fille à l’église, à la table sainte,

 pourquoi ne la suiviez-vous pas plutôt que celle qui allait aux danses ? Lorsque ce jeune homme venait à l’église pour y adorer Jésus-Christ dans son saint tabernacle,

 pourquoi n’avez-vous pas plutôt suivi ses traces que celles de celui qui allait au cabaret ? Dites plutôt, pécheur, que vous avez mieux aimé suivre la voie large qui vous

 a conduit dans ce malheur où vous vous trou-vez, que le chemin que le Fils de Dieu a tracé lui-même. La vraie cause de vos chutes et de votre réprobation ne sont donc

 ni des mauvais exemples, ni des occasions, ni de vos faiblesses, ni des grâces qui vous manquaient ; mais seulement des mauvaises dispositions de votre cœur

 que vous n’avez pas voulu réprimer. Si vous avez fait le mal, c’est parce que vous l’avez bien voulu. Votre perte vient donc uniquement de vous.

 

 

 

Lien externes sur la confession, comment bien se confesser, les autres piéges, astuces de Satan :

Sur catholique.org

La confession des péchés

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