Ne commettez pas l’impurete

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( d’après les visions de Maria Valtorta )

« Ne commettez pasl’impureté »

 

Aujourd’hui je dis : “Ne commettez pas l’impureté”.

Ne tournez pas vos regards tout autour en cherchant à lire sur le visage de quelqu’un : “luxurieux”. Soyez charitables les uns envers les autres. Aimeriez-vous qu’on la lise sur votre visage ? Non. Alors, ne cherchez pas à lire dans l’œil troublé du voisin, sur son front qui rougit et s’incline vers le sol.

Et puis… Oh ! dites, vous surtout les hommes. Qui d’entre vous n’a jamais goûté ce pain de cendre et d’ordure qu’est la satisfaction sensuelle ? N’y a-t-il de luxure que celle qui vous pousse pour une heure entre les bras d’une courtisane ? N’est-ce pas luxure aussi la profanation du mariage avec l’épouse, profanation car c’est la légalisation du vice qui cherche la satisfaction réciproque des sens, en en évitant les conséquences ? Mariage veut dire procréation et l’acte signifie et doit être fécondation. Sans cela, c’est de l’immoralité. On ne doit pas faire de la couche nuptiale un lupanar, et elle devient telle si elle est souillée par la passion et si elle n’est pas consacrée par des maternités. La terre ne repousse pas la semence. Elle l’accueille et en fait une plante. La semence ne quitte pas la glèbe après qu’on l’y a déposée, mais elle produit de suite une racine et s’y insère pour croître et former l’épi. La plante naît du mariage entre la terre et la semence. L’homme c’est la semence, la femme c’est la terre, l’épi c’est l’enfant. Se refuser à faire l’épi et perdre vicieusement sa force, c’est une faute. C’est une prostitution, commise sur le lit nuptial, mais en rien différente d’une autre, aggravée même par la désobéissance au commandement qui dit : “Soyez une seule chair et multipliez-vous dans vos enfants”.

Vous voyez donc, ô femmes volontairement stériles, épouses légales et honnêtes, non pas aux yeux de Dieu mais aux yeux du monde, que malgré cela vous pouvez être comme des prostituées et commettre également l’impureté, tout en étant avec votre seul mari, parce que ce n’est pas la maternité mais le plaisir que vous cherchez et bien trop souvent. Vous ne réfléchissez pas que le plaisir est un poison que l’on absorbe, de quelque bouche contagieuse qu’il vienne. 524> Il brûle d’un feu qui croyant se rassasier se pousse hors du foyer, et dévore, toujours plus insatiable. Il laisse une âcre saveur de cendre sur la langue. Il donne le dégoût, la nausée et le mépris de soi-même et de son compagnon de plaisir, parce que quand la conscience se réveille, et elle se réveille entre deux fièvres, il ne peut naître que le mépris de soi-même qu’on a avili au dessous de la bête.

“Ne commettez pas l’impureté” est-il dit.

La fornication vient en grande partie de l’homme. Et, je ne m’arrête pas non plus à cette inconcevable union qui est un cauchemar et que le Lévitique condamne par ces paroles : “Homme, tu ne t’uniras pas à l’homme comme si c’était une femme” et “Tu ne t’uniras à aucun animal pour te souiller avec lui, et ainsi, aussi pour la femme, car ces unions sont criminelles”.

Mais après avoir marqué le devoir des époux à l’égard du mariage qui cesse d’être saint quand, par malice, il devient infécond, j’en viens à parler de la fornication proprement dite entre homme et femme par malice réciproque et par paiement en argent ou en cadeaux.

Le corps humain est un temple magnifique qui renferme un autel. Sur l’autel, c’est Dieu qui devrait se trouver. Mais Dieu n’est pas où existe la corruption. Le corps de l’impur a donc un autel déconsacré et sans Dieu.

Semblable à un homme ivre qui se roule dans la fange et dans ses vomissements, l’homme s’avilit lui-même dans la bestialité de l’impureté et devient pire qu’un ver et que la bête la plus immonde. Et dites-moi, si parmi vous il y a quelqu’un qui s’est dépravé, au point de vendre son corps comme on vend du blé ou un animal, quel bien vous en est-il venu ? Prenez-vous le cœur en mains, examinez-le, interrogez-le, écoutez-le, voyez ses blessures, la douleur qui le fait frissonner et puis parlez et répondez-moi : était-il si doux ce fruit pour mériter cette souffrance d’un cœur qui était né pur et que vous avez contraint à vivre dans un corps impur, à battre pour donner vie et chaleur à la luxure, et l’user dans le vice ?

Dites-moi : mais êtes-vous si dépravés pour ne pas sangloter secrètement en entendant une voix d’enfant qui appelle : “maman” et en pensant à votre mère, ô femmes de plaisir, échappées de la maison, ou chassées pour que le fruit pourri ne gâtât pas, par sa pourriture, les autres enfants ? En pensant à votre mère qui peut-être est morte de la douleur de devoir se dire : “J’ai enfanté un être qui fait ma honte” ?

525> Mais n’avez-vous pas senti votre cœur se briser en rencontrant un vieillard que ses cheveux blancs rendaient respectable, à la pensée que vous avez jeté le déshonneur sur ceux de votre père comme de la boue prise à pleines mains et avec le déshonneur le mépris de son pays natal ?

Mais ne sentez-vous pas le regret vous étreindre les entrailles en voyant le bonheur d’une épouse ou l’innocence d’une jeune fille, et de devoir vous dire : “Moi, j’ai renoncé à tout cela et je ne l’aurai jamais plus !” ?

Mais ne sentez-vous pas la honte qui vous défigure lorsque vous rencontrez le regard d’un homme plein de convoitise ou de mépris ?

Mais ne ressentez-vous pas votre misère quand vous avez soif du baiser d’un bébé et que vous n’osez plus dire : “Donne-le moi” parce que vous avez tué des vies qui devaient naître, rejetées par vous comme un fardeau ennuyeux et une gêne inutile, détachées de l’arbre qui les avait conçues, et jetées au fumier, et maintenant ces petites vies vous crient : “assassines !” ?

Mais ne tremblez-vous pas surtout à la pensée du Juge qui vous a créés et qui vous attend pour vous demander : “Qu’as-tu fait de toi-même ? Est-ce pour cela que je t’ai donné la vie ? Nid de vermine et pourriture, comment oses-tu te tenir en ma présence ? Tu as eu tout de ce qui était pour toi un dieu : la jouissance. Va au lieu de l’éternelle malédiction”.

Qui pleure ? Personne ? Vous dites : personne ? Et pourtant mon âme va à la rencontre d’une autre âme en pleurs. Pourquoi y va-t-elle ? Pour jeter l’anathème à une prostituée ? Non. Parce que son âme me fait pitié. Tout en Moi est répulsion pour son corps souillé, qui transpire une sueur immonde. Mais, son âme !

Oh ! Père ! Père ! C’est pour cette âme aussi que j’ai pris chair et que j’ai quitté le Ciel pour être son Rédempteur et celui de tant d’âmes, ses sœurs ! Pourquoi ne devrais-je pas recueillir cette brebis errante, l’amener au bercail, la purifier, l’unir au troupeau, lui donner des pâturages et un amour qui soit parfait comme seul le mien peut l’être ? Si différent de ce à quoi jusqu’ici elle donnait le nom d’amour, alors que ce n’était que haine, un amour si compatissant, si complet, si doux pour qu’elle ne pleure plus le temps passé, ou qu’elle le pleure seulement pour dire : “J’ai perdu trop de jours loin de Toi, Éternelle Beauté. Qui me rendra le temps perdu ? Comment goûter, dans le peu de temps qui me reste à vivre, ce que j’aurais goûté si j’étais toujours restée pure ?”

526> Et pourtant ne pleure pas, âme foulée aux pieds par toute la luxure du monde. Écoute : tu es une loque dégoûtante, mais tu peux devenir une fleur. Tu es un fumier, mais tu peux devenir un parterre fleuri. Tu es un animal immonde, mais tu peux devenir un ange. Un jour tu l’as été. Tu dansais sur les prés en fleurs, rose parmi les roses, fraîche comme elles, exhalant le parfum de ta virginité. Tu as chanté sereine tes chansons de bambine, et puis tu courais vers la mère, vers le père et tu leur disais : “Vous êtes mes amours”. Et l’invisible gardien que toute créature a à son côté souriait devant la blancheur azurée de ton âme…

Et puis ? Pourquoi ? Pourquoi as-tu arraché tes ailes de petite innocente ? Pourquoi as-tu foulé aux pieds un cœur de père et de mère pour courir vers d’autres cœurs dont tu n’étais pas sûre ? Pourquoi as-tu abaissée ta voix pure en lui faisant dire de mensongères paroles d’un faux amour ? Pourquoi as-tu brisé la tige de la rose en te violant toi-même ? Repens-toi, fille de Dieu. Le repentir est renouvellement, purification, élan vers les hauteurs. L’homme ne peut-il pas te pardonner ? Même ton père ne le pourrait-il pas ? Mais Dieu le peut. Car la bonté de Dieu ne peut se comparer à la bonté humaine et sa miséricorde est infiniment plus grande que la misère de l’homme. Honore toi-même, en rendant par une vie honnête, ton âme, digne d’honneur. Justifie-toi auprès de Dieu, en ne péchant plus contre ton âme. Fais-toi un nom nouveau auprès de Dieu. Voilà ce qui a de la valeur. Tu es le vice. Deviens l’honnêteté. Deviens le sacrifice. Deviens la martyre de ton repentir. Tu as bien su martyriser ton cœur pour faire jouir la chair. Maintenant, sache martyriser ta chair pour donner une paix éternelle à ton cœur.

Va. Allez tous. Chacun avec votre fardeau et votre pensée. Réfléchissez. Dieu vous attend tous et ne rejette aucun de ceux qui se repentent. Que le Seigneur vous donne la lumière pour connaître votre âme. Allez."

Beaucoup vont vers le pays. D’autres entrent dans la pièce. Jésus va vers les malades et les guérit …

Un groupe d’hommes discutent dans un coin. Partagés entre des opinions différentes, ils gesticulent et s’animent. Certains accusent Jésus, d’autres le défendent, d’autres encore conseillent à tous plus de maturité dans le jugement. 527> Finalement, les plus acharnés, peut-être parce que peu nombreux par rapport aux deux autres groupes, prennent un chemin intermédiaire. Ils vont vers Pierre qui, en même temps que Simon, transporte les brancards désormais inutiles de trois miraculés, et l’assaillent, autoritaires, à l’intérieur de la pièce devenue une hôtellerie de pèlerins. Ils disent : "Homme de Galilée, écoute."

Pierre se retourne et les regarde comme des bêtes rares. Il ne parle pas, mais son visage est tout un poème. Simon se contente de jeter un regard vers les cinq énergumènes et puis il sort, les laissant tous en plan.

Un des cinq reprend : "Je suis Samuel le scribe; celui-ci, c’est l’autre scribe, Sadoq, et celui-là le juif Eléazar, très connu et influent; cet autre, c’est Collascebona l’ancien; et ce dernier pour terminer, Nahoum. Tu saisis ? Nahoum !" et le ton est tout à fait emphatique.

Pierre s’incline légèrement à chaque nom, mais au dernier il ne s’incline qu’à moitié, et il dit, avec la plus grande indifférence : "Je ne sais pas… jamais vu. Et puis… je ne comprends rien."

"Rustre de pêcheur ! Sache que c’est l’homme de confiance d’Anne !"

"Je ne connais pas Anne. C’est à dire je connais beaucoup de femmes qui s’appellent Anne. Il yen a une vraie champignonnière, même à Capharnaüm. Mais je ne sais de quel Anne, celui-ci est l’homme de confiance."

"Celui-ci ? C’est à moi que tu dis : "celui-ci" ?"

"Mais que veux-tu que je te dise ? Âne ou oiseau ? Quand j’allais à l’école, le maître m’a appris à dire "celui-ci" en parlant d’un homme et, si je n’ai pas la berlue, tu es un homme."

L’homme s’agite comme si cette parole l’écorchait vif. L’autre, le premier qui a parlé, explique : "Mais Anne est le beau-père de Caïphe…"

"Ah !… Compris !!! Et bien ?"

"Et bien sache que nous sommes indignés !"

"De quoi ? Du temps? Moi aussi. C’est la troisième fois que je change de vêtement et maintenant, je n’ai plus rien de sec."

"Mais ne fais pas l’imbécile !"

"L’imbécile ? C’est la vérité. Si vous n’êtes pas mécontents du temps de quoi alors ? Des Romains ?"

"De ton Maître ! Du faux prophète."

528> "Eh ! cher Samuel ! Attention à ne pas m’éveiller ! Je suis comme le lac. D’une bonace à la tempête il n’y a qu’un instant. Fais attention à tes paroles…" En attendant sont entrés aussi les fils de Zébédée et d’Alphée et avec eux l’Iscariote et Simon. Ils se rapprochent de Pierre qui élève toujours plus haut la voix.

"Tu ne toucheras pas avec tes mains de plébéien les grands de Sion !"

"Oh ! quels beaux seigneurs ! Et vous, ne touchez pas le Maître, parce que; autrement ! vous volez au puits, tout de suite pour vous purifier pour de bon à l’intérieur et à l’extérieur."

"Je fais observer aux savants du Temple, dit tranquillement Simon, que la maison est une propriété privée."

Et l’Iscariote renchérit : "Et que le Maître, j’en suis garant, a toujours eu pour la maison d’autrui, et la première entre toutes la maison du Seigneur, le plus grand respect. Qu’on traite la sienne avec le même respect."

"Tais-toi, ver sournois."

"Sournois, en quoi ! Vous m’avez dégoûté et je suis venu où il ne peut y avoir de dégoût. Dieu veuille que pour être resté avec vous je n’aie pas été complètement corrompu !"

"Bref, que voulez-vous ?" demande sèchement Jacques d’Alphée.

"Et toi, qui es-tu ?"

"Je suis Jacques d’Alphée, Alphée de Jacob, et Jacob de Mathan, et Mathan d’Eléazar, et si tu veux, je te nomme tous mes ancêtres, jusqu’au roi David d’où je descends. Et je suis le cousin du Messie. Je te prie donc de parler avec moi de souche royale et de race juive, s’il déplait à ta grandeur de parler avec un honnête Israélite qui connaît Dieu, mieux que Gamaliel et que Caïphe. Allons. Parle."

"Ton Maître et parent se fait suivre par des prostituées. Cette femme voilée est l’une d’elles. Je l’ai vue au moment où elle vendait de l’or. Et je l’ai reconnue. C’est la maîtresse de Sciammaï, elle l’a quitté. Cela déshonore ton parent."

"De qui ? De Sciammaï le rabbin ? Alors ce doit être une vieille carcasse. Donc pas de danger…" dit l’Iscariote en plaisantant.

"Tais-toi, fou ! De Sciammaï de Elchi, le préféré d’Hérode."

"Tiens ! tiens ! Cela veut dire qu’elle ne le préfère plus, le préféré."

"C’est elle qui était sa maîtresse. Pas toi. Pourquoi alors te mets-tu en peine ?" dit Judas de Kériot tout à fait ironique.

529> "Homme ! ne penses-tu pas que tu te déshonores en faisant l’espion ?  demande Jude d’Alphée. Et ne penses-tu pas que celui-là se déshonore qui tombe pour pécher, et non pas celui qui cherche à relever le pécheur ? Quel déshonneur en résulte-t-il pour mon Maître et frère si Lui, en parlant, fait parvenir sa voix jusqu’aux oreilles profanées par la bave des luxurieux de Sion ?"

"Sa voix ? Ah ! Ah ! Il a trente ans, ton Maître et cousin et il n’est que plus hypocrite que les autres ! Et toi, et vous tous, vous dormez comme des sourds, la nuit…"

"Reptile impudent, hors d’ici ou je t’étrangle !" crie Pierre auquel font écho Jacques et Jean, pendant que Simon se borne à dire : "Quelle honte ! Ton hypocrisie est si grande qu’elle ressort et déborde et tu baves comme une limace sur une fleur pure. Sors d’ici et deviens un homme car pour l’instant tu n’es que bave. Je te reconnais, Samuel. Tu as toujours le même cœur. Dieu te pardonne, mais va-t-en, loin de ma présence." 

Mais pendant que le Kériot avec Jacques d’Alphée retiennent le bouillant Pierre, voici qu’intervient Jude Thaddée. Dans sa démarche, il ressemble plus que jamais à son Cousin et il a dans le regard la même flamme azurée et son air en impose. Il crie comme un tonnerre : "C’est lui-même qu’il déshonore, celui qui cherche à déshonorer l’innocent. Les yeux et la langue, Dieu les a faits pour opérer des œuvres saintes. Le calomniateur les profane et les avilit, en leur faisant faire des œuvres mauvaises; Je ne me souillerai pas moi-même par un acte mauvais contre tes cheveux blancs. Mais je te rappelle que les méchants haïssent l’homme intègre et que le sot épanche sa malveillance, sans même réfléchir qu’il se trahit. Qui vit dans les ténèbres échange pour un reptile le rameau fleuri. Mais qui vit dans la lumière, voit les choses comme celles sont, et les défend, si on les attaque, par amour de la justice. Nous, nous vivons dans la lumière. Nous sommes la chaste et belle génération des fils de la lumière, et notre Chef c’est le Saint qui ne connaît pas la femme ni le péché. Nous le suivons et le défendons contre ses ennemis, pour lesquels, comme Lui nous l’a enseigné, nous n’avons pas de haine, mais au contraire nous prions pour eux. Apprends, vieillard, la leçon d’un jeune homme parvenu à la maturité parce que la Sagesse l’a instruit à ne pas tenir des propos irréfléchis et à ne pas être, en fait de bien, un propre à rien. Va et rapporte à celui qui t’a envoyé que ce n’est pas dans la maison profanée du mont Moriah, mais dans cette pauvre demeure que Dieu réside dans sa gloire. Adieu." Les cinq n’osent pas répliquer et s’en vont.

530> Les disciples s’interrogent. Faut-il le dire ou pas à Jésus qui est encore avec les malades guéris ? Le dire, c’est mieux.

Ils vont vers Lui, l’appellent et ils le Lui disent. Jésus sourit tranquillement et répond : "Je vous remercie de votre défense… mais que voulez-vous y faire ? Chacun donne ce qu’il a."

"Pourtant, ils ont un peu raison. On a des yeux pour voir et beaucoup voient. Elle est toujours à la porte, comme un chien. Elle te nuit." disent plusieurs.

"Laissez-la. Ce ne sera pas elle la pierre qui me frappera la tête. Et si elle se sauve… ma joie me paiera bien de toutes ces critiques !"

Tout se termine sur cette douce réponse.

 

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